Aide à l’écriture, au service de vos biographies sociales
Pour les personnes qui souhaitent écrire et transmettre sur leurs histoires de vie
Faire naître les projets d’écriture qui vous animent
Vous sentez l’envie et le besoin d’écrire votre biographie, votre récit de vie, vos réflexions… Le moment est arrivé, vous le sentez. Vous avez envie de créer votre livre à partir de votre expérience et d’une volonté de transmettre. Vous avez peut-être de la matière pour écrire votre livre : des journaux intimes, carnets de voyage, blogs, lettres, quelques notes, des photos… Votre projet d’écriture porte sur une thématique sociale ou un chemin de vie particulier. La tête pleine d’idées, vous ne savez pas trop par quoi commencer et comment vous y prendre. Vous avez besoin d’une aide à l’écriture !
Être aidé, c’est éviter les obstacles. C’est aussi magnifier votre écriture et votre histoire. L’aide d’un professionnel expert dans le domaine de l’écriture de biographies sociales est précieuse. Elle va faciliter votre projet. Car le monde du livre et de l’écriture est un univers complexe. Avec La Plume Sociale, vous allez ainsi acquérir la connaissance sur les règles de l’écrit, sur les mécanismes d’écriture, sur la publication, le processus d’édition.
L’aide à l’écriture de La Plume Sociale, pour que votre projet se concrétise
Cette aide à l’écriture, proposée par des séances de travail d’écriture, en visioconférence (Skype) ou tout simplement par téléphone, permettra d’aboutir à la publication de votre livre. Les séances en ligne sont proposées de manière individuelle et personnelle, pour un travail en toute confidentialité. Complétées par l’envoi de fiches outils sur lesquelles vous devez travailler, cet accompagnement se réalise à votre rythme. Des objectifs et un délai sont fixés dès le départ. Entre chaque séance, le lien est maintenu par mails et par téléphone.
Votre projet en vaut la peine.
Osez bousculer les codes et éditer votre biographie, en étant épaulé et accompagné par La Plume Sociale.
Les avantages de l’aide à l’écriture de La Plume Sociale
Une aide à l’écriture, à distance
Confortablement installé chez vous, vous serez accompagné à travers des séances en visioconférence, des échanges par mails et des entretiens téléphoniques. Pas besoin de vous déplacer, La Plume Sociale travaille avec vous en ligne.
Il vous suffit d’avoir un ordinateur, une connexion internet, un logiciel Skype ou un téléphone et nous démarrons !
Une aide à l’écriture qui s’adapte à vos besoins
- En amont, un entretien téléphonique préalable permet de fixer un planning commun et des objectifs à réaliser. C’est La Plume Sociale qui s’adapte à vous, pas l’inverse !
- Chaque entretien dure une heure. Ces séances sont proposées aux horaires de votre choix, autant de fois que vous le souhaitez pour finaliser votre manuscrit.
- Entre chaque entretien, nous continuons à travailler ensemble et maintenons le lien. Notre travail ne s’arrête pas aux séances !
Si vous n’avez pas envie ou ne pouvez pas écrire, vous pouvez raconter votre histoire. La Plume Sociale vous écoute, enregistre, retranscrit, rédige pour vous votre projet de biographie. Vous recevez ensuite chez vous, votre manuscrit finalisé et prêt à être édité.
Vous pouvez aussi confier la publication à La Plume Sociale qui travaille avec des partenaires graphistes et imprimeurs, pour recevoir chez vous, vos ouvrages.
Une aide totale ou partielle
- Vous souhaitez une aide totale ? La Plume Sociale s’occupe de votre projet de A à Z. A chaque séance, un grand axe sera décortiqué, analysé et travaillé. Nous irons au cœur des personnages, de la trame, le cadre, l’intention, le public, la structure des chapitres, la préface et titre, la mise en page, lettre de présentation et synopsis…
- Vous avez besoin d’une aide partielle ? Un travail d’écriture a déjà été amorcé mais il ne vous semble pas abouti ? Vous ne savez pas comment le terminer ? La Plume Sociale vous accompagne dans la finalisation de votre projet, vous donne des astuces, travaille avec vous, relit, corrige, peaufine la mise en page et valorise votre écrit.
Que vous soyez aux prémices, au cœur ou à la finalisation de votre projet d’écriture, La Plume Sociale sera toujours là pour vous aider.
Un prix juste pour faciliter votre projet d’écriture et de publication
Pour les particuliers, deux propositions de tarification vous sont faites. A vous de déterminer celle qui conviendra le mieux à votre projet.
Ces prix calculés au plus juste permettent au professionnel qui vous accompagne de pouvoir payer ses charges, tout en se dégageant un salaire décent, afin de pérenniser cette prestation d’aide à l’écriture.
Aide ponctuelle de relecture : 30 euros/heure
Vous avez besoin d’être aidé ponctuellement ? Cette offre est faite pour vous. Vous envoyez à La Plume Sociale votre biographie. Cette dernière vous apporte une correction, tant sur le fond que sur la forme. Vous recevez ensuite votre travail corrigé et annoté, avec des fiches outils pour vous aider à continuer votre travail individuel. Des entretiens téléphoniques vous seront également proposés, afin d’apporter un éclairage complémentaire à la correction écrite.
Aide complète à l’écriture : 150 euros/séance
Chaque séance comprend 45 minutes d’enregistrement où La Plume Sociale vous écoute lui raconter votre histoire. Elle vous guide et vous oriente en douceur, lorsque vous sentez que vous perdez le fil. Vient ensuite 4 à 5 heures de retranscription que La Plume Sociale réalise pour vous, avec la création du sommaire, mise en page, placement du récit, adaptation au style d’écriture, etc. Ces séances se réalisent à votre rythme. Comptez entre 8 et 15 séances pour une biographie complète.
Pour les professionnels, un devis peut vous être envoyé, après étude du projet à développer.
Un entretien découverte pour commencer
Afin de faire connaissance, La Plume Sociale vous propose un entretien découverte de 30 minutes. Totalement gratuit, il vous permettra de poser vos questions, expliquer votre projet et trouver les réponses à vos éventuels doutes. La Plume Sociale pourra également vous expliquer comment elle pense vous accompagner sur votre projet d’écriture. Cet entretien découverte est sans engagement. Il vous permettra de repartir avec tous les éléments nécessaires à votre prise de décision.
Pour réserver votre entretien découverte, c’est ici !
Vous pouvez aussi contacter La Plume Sociale pour votre projet d’écriture, par écrit. Vous avez ainsi la possibilité de lui écrire un formulaire de contact.
Vous avez encore un doute ? Voici quelques extraits réalisés par La Plume Sociale
Extrait rédigé pour une cliente qui souhaitait une biographie romancée, pour évoquer son diagnostic tardif de poliomyélite et l’abandon de son père. Avec son aimable autorisation, en voici un passage :
Le médecin s’approcha du lavabo situé derrière lui, ne remarquant pas le visage de ma mère, décontenancé. Docteur Gustave se mit à frotter méticuleusement les interstices de ses doigts charnus. L’eau ruisselait sur ses poignets, seul bruit que nous pouvions entendre dans la grande salle d’auscultation. Maman ne parlait pas. Je l’observais avec mon regard d’enfant qui attendait un signal pour comprendre ce qui était en train de se passer.
Je sursautai lorsque la grande silhouette du médecin se retourna vers nous. Nous faisant face, docteur Gustave fit un geste en direction de ma mère pour lui signifier qu’il était temps de me redescendre de la table d’examen. Disciplinée, maman m’aida à enjamber le petit escarbot prévu à cet effet, replaçant le papier de la table qui était encore collé sur mes fesses. Doucement, elle m’aida à remettre mes vêtements en me regardant tendrement. Je la dévorais des yeux et malgré la fièvre, je restais sage et silencieuse.
Voulant faire bonne impression, j’avais été affublée d’un gilet avec ces milles petits boutons compliqués à reboutonner et d’un beau col marin qui me serrait légèrement la gorge. Une fois revêtue, non sans quelques difficultés, je me plaçai sur les genoux de ma mère qui avait regagné la chaise dure et inconfortable des patients.
Docteur Gustave poussa son large fauteuil. Faisant face à son bureau, il s’assit avec l’attitude d’un haut fonctionnaire relevant de grandes responsabilités. Déposant ses petites lunettes rondes sur la pointe de son nez, il griffonna quelques lignes sur son ordonnancier. Puis il brisa le silence en proclamant d’une voix monocorde :
-Je vous le disais, tout va bien, une simple angine virale… Ne vous tracassez pas, cette petite ira mieux dans quelques jours.
Maman resta silencieuse. Ses jambes, prises d’un mouvement saccadé, trahissait une anxiété qu’elle avait du mal à contenir. Au bout de quelques instants, elle se risqua à parler :
-Mais elle est pourtant malade depuis plusieurs jours. Je suis inquiète vous comprenez… A deux ans, elle n’a jamais été fiévreuse aussi longtemps.
La tête du médecin se redressa. Il ne lui plaisait guère qu’une patiente remette en cause son diagnostic. Médecin généraliste depuis quarante ans, ayant fait ses classes, il avait acquis une considération et un respect certain de sa patientèle. Tout de même, cette jeune mère devenait impertinente. D’un air pincé, il lui adressa un regard glacial qui aurait pu en intimider plus d’un :
-Madame Dupontelle, vous faites partie de ces jeunes mères trop inquiètes. Les enfants tombent malades, c’est la nature des choses ! Prenez cette ordonnance et suivez mes instructions. Vous verrez, dans quelques jours, votre petite Ava sera en pleine santé. Maintenant, si vous me le permettez, j’ai d’autres patients à soigner. Ma secrétaire se chargera de votre feuille de soin… et du règlement.
Tout en parlant, docteur Gustave s’était levé et avait ouvert la porte de son cabinet. Les mines impatientes des autres patients nous faisaient instamment comprendre que c’était à leur tour. Maman me pris par la main, traversa le couloir en relevant dignement la tête et s’approcha du petit comptoir de la secrétaire. Fouillant dans son menu sac à main noir, elle sortit un joli portefeuille corail et en retira deux billets. Elle les tendit à la secrétaire qui d’un geste machinal, les rangea dans la petite caisse posé derrière le bureau, tout en parlant au téléphone. Maman me regarda et serra sa main contre la mienne. Elle était ferme et douce à la fois. Je me sentais fatiguée et le sommeil commençait à me gagner.
Après quelques minutes d’attente, la secrétaire rendit la monnaie et passa la tête derrière le comptoir. Adoptant une attitude étrange, elle se pencha, courbée sur sa chaise roulante. Cherchant quelque chose du regard, elle s’arrêta après avoir posé ses yeux sur moi. Un immense sourire fit briller ses dents jaunies et un regard plein de tendresse me fut adressé. Elle qui n’avait jamais pu avoir d’enfants, aimait toujours voir la tête de ces petits bambins, passer la porte du cabinet. D’un coup brusque, elle fit rouler sa chaise jusqu’à moi et ouvrit sa main. Cette dernière qui cachait un petit cadeau à mon attention, dévoila trois bonbons emballés dans du papier glacé. Maman la remercia et j’appliquai moi aussi mes règles de politesse en prononçant un timide merci.
Extrait rédigé pour un client souhaitant réaliser sa biographie, traitant notamment d’abandon, de maltraitance et de résilience :
Ce fut un jour d’automne 1965. Mon regard de petit garçon se posa sur la vision étonnante et peu commune de mon père, tout endimanché et paré de ses beaux habits. Je me demandais bien pourquoi il était vêtu de la sorte. Il ne me semblait pas qu’un évènement particulier soit en train de se préparer… Perdu dans mes réflexions d’enfant, mon père me sortit de mes songes et me demanda de l’aider à placer le bouton de manchette qui lui permettait de maintenir sa chemise. Porteur d’un handicap physique, il ne pouvait évidemment pas le faire seul. En bon garçon docile que j’étais, je l’aidais à positionner son bouton de manchette, qu’il sortait uniquement pour les grandes occasions. Puis dans un bref instant furtif, là, une silhouette… Mon regard fut détourné et je la vis…
Ma mère ! Oui, ma mère que je n’avais pas vu depuis tant d’années, qui hantait mes pensées et que je cherchais désespérément, se tenait là, immobile, face à moi. Pourquoi revenait-elle ? Pourquoi était-elle partie ? Pourquoi m’avait-elle abandonnée ? Mes questions restèrent sans réponses. Me laissant à mes émotions brutes, je remarquais quelque chose de nouveau, d’inhabituel, au côté de ma mère retrouvée. Entrelacés entre ses jambes se tenaient deux petites têtes de chérubins. Je compris alors que ma mère n’était pas revenue seule et qu’elle avait eu une autre vie. Je découvris avec étonnement mes deux demies-sœurs utérines, dont j’apprendrai plus tard les prénoms : Françoise et Victoire.
En matière d’amour, ma mère avait le don de toujours retomber sur ses pattes et de trouver une solution lorsque l’adversité se présentait à elle. Bien entendu, mon père accueillit à bras ouvert sa bien-aimée, lui pardonnant toutes ses escapades. Il n’avait que ce mot à la bouche : ma Françoise était revenue.
La vie était donc repartie avec ma mère, et en cadeau, une fratrie agrandie, ce qui ne me laissait pas indifférent. Nous logions tous dans un petit appartement à la cité Notre Dame, que je jugeais plutôt exigu pour toute cette famille recomposée. Nous dormions tous les six dans la même chambre. En janvier 1967, nous déménageâmes dans un appartement plus grand, situé à la cité Victor Hugo, en périphérie lyonnaise. Cette cité avait été construite autour de nombreux chantiers et de gravas d’anciens immeubles. Nous croisions à l’époque de nombreux ouvriers. Cette précision fortuite aura toute son importance dans la suite de mon récit.
Les nombreux témoignages des clients
Depuis sa création, La Plume Sociale a accompagné de nombreuses personnes dans l’écriture de leurs ouvrages : voici leurs témoignages.
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